jeudi 6 février 2014

Vieux frères.

Il y a ces sourires, ces voix, ces encouragements. Il y a leurs petits mots dans ma tête, et son rire qui sublime le tout. Eux. Vieux frères. Eux qui m'aident à voir plus loin. Eux mes amis. Eux ma famille. Eux, on les connait tous. Eux qui semblent te connaître par coeur. Eux qui désignent l'évidence. Eux comme tout un symboles. 

Il y a ces sourires, ces voix, ces encouragements. Eux qui m'ont fait sentir libre, enfant. Eux, on les connait tous. Oui toi, aussi, tu les connais. Eux ce sont des aveux, des bras qui nous serrent pour sécher les larmes qui ont trop coulé. Eux ce sont ces gens pour qui l'on tuerait. Si on me l'avait dit, je n'y aurais pas cru. Et pourtant, et pourtant ils sont là. Partout. Tout le temps. Je le dis, je le crie. Parce qu'on oublie toujours de dire à quel point l'attachement qui nous lie aux autres peut être profond. On oublie toujours d'avouer aux autres qu'on les aime et qu'on sera là présent, quoi qu'il arrive. Les uns pour les autres parce que c'est le seul moyen qu'il nous reste pour avancer. 

Ma chaleur humaine. Ma bouffée d'oxygène. Mon rire juvénile. Mes conneries puériles. Ma joie intempestive et presque insupportable. Tout et n'importe quoi. Surtout n'importe quoi. L'amour en soi. 
Merci à tous, merci à Solene, à Sandra, à Laura, à Eva, à Guillaume, à Tom, à Pierre. Cet article vous est dédié. 











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